Bonjour Marc Borgna, pouvez-vous nous parler d’Adothia Capital, de votre parcours, et des objectifs de votre groupe ? J’ai débuté dans l’immobilier en 1991, alors âgé de 21 ans, en tant qu’agent immobilier. Rapidement, je me suis orienté vers des opérations de rachat et revente d’immeubles, principalement dans l’ouest parisien. En 2013, nous avons également étendu nos activités à la reprise d’entreprises, notamment dans le secteur manufacturier en France, ciblant celles dont le chiffre d’affaires dépasse 30 millions d’euros. Votre activité immobilière est particulièrement dynamique. Pouvez-vous nous en dire davantage ? Effectivement, le marché immobilier est aujourd’hui, dans sa globalité, arrivé à maturité. Cependant, le segment haut de gamme reste actif, et c’est en 2018 que nous avons décidé de nous y positionner de manière stratégique. Cela nous a permis de consolider notre offre dans des zones prisées telles que Deauville, le 7e arrondissement de Paris, Megève, Courchevel, Saint-T...
Adothia Capital : Investisseur majeur dans le secteur manufacturier et acteur incontournable de l’immobilier de prestige
Depuis sa fondation en 2011, le groupe Adothia Capital s’impose comme un acteur influent dans la reprise d’entreprises industrielles françaises et bénéficie également d’une activité significative dans le développement de projets immobiliers haut de gamme. Sous la direction de Marc Borgna, Adothia Capital conjugue engagements sociaux et stratégiques, répondant aux opportunités offertes par deux secteurs porteurs. Adothia Capital, défenseur de la reprise industrielle française Spécialisé dans le redressement et la revitalisation des entreprises manufacturières en difficulté, Adothia Capital intervient auprès de sociétés confrontées à des problématiques de gestion ou de stratégie, avec un objectif clair : préserver et développer l’emploi en France. Le groupe se consacre à stabiliser le tissu industriel et à sauvegarder les savoir-faire, en s’inspirant de la récente reprise de l’industrialisation observée aux États-Unis. Comme l’explique Marc Borgna : « Nous ne sommes plus dans les...